Des pages et des îles

Chronique de : Une surprise de Noël peut en cacher une autre de Nicolas Barreau 

Résumé :

À la veille des fêtes, les mauvaises nouvelles s’accumulent et Joséphine se demande si, cette année, elle ne ferait pas l’impasse sur Noël. Mais tandis que le réveillon approche, elle reçoit une péniche en héritage. La jeune traductrice y voit alors l’opportunité d’un nouveau départ. C’est sans compter sur Maxime, le locataire de l’embarcation.

L’auteur :

Sous le pseudonyme de Nicolas Barreau se cache un auteur franco-allemand qui travaille dans le monde de l’édition. Une surprise de Noël peut en cacher une autre est son neuvième roman publié aux éditions EHO après notamment Le Sourire des femmes (2014), La Vie en Rosalie (2016), Le Café des petits miracles (2018), Le Temps des cerises (2022).

Ma chronique :

Un livre « doudou », une douceur romantique qui égaye notre quotidien. Ce serait dommage de s’en priver.

C’est pétillant, tendre et réconfortant.

En le lisant j’ai pensé à « La La Land » pour la vision de Paris toute en couleurs, gaies et toniques. 

Les admirateurs du coté scintillant de Noël seront peut-être déçus en découvrant une intrigue qui rend davantage hommage à l’esprit de la fête qu’à son climat.

Pour moi, la combinaison d’un style fluide et d’une histoire qui nous accroche est déjà une réussite.

De plus, l’héroïne est attachante, l’histoire douce et généreuse, n’est-ce pas le plus important ?

J’avais déjà lu des livres de Nicolas Barreau et celui-ci a aussi répondu à toutes mes attentes de lectrice, n’hésitez pas à le découvrir.

Notation :

Critique de : Menu d’amour de Nicolas Barreau

Menu d’amour

Résumé :

Henri, étudiant en lettres un brin rêveur, est secrètement amoureux de Valérie, aussi pétillante qu’inaccessible. Lorsque cette dernière succombe au charme d’un bel Italien, Henri se voit condamné à rester l’éternel confident. Pourtant une découverte au détour d’un livre ancien lui redonne espoir : la recette d’un élixir d’amour. ..

L’auteur :

Sous le pseudonyme de Nicolas Barreau se cache un auteur franco-allemand qui travaille dans le monde de l’édition.

Ma chronique :

Un régal comme chacune de ses publications, en le terminant je me dis : où le ranger, avec les livres de cuisine ou proche des romans ?

Oui car ce livre est à la fois une ode à l’amour et à la gastronomie : peut-on conquérir une femme en la régalant de bons petits plats ?

Dans le prologue, l’auteur fait le lien entre cette histoire et « le sourire des femmes » autre roman qui lie la cuisine et l’amour.

Ce que j’aime aussi dans les romans de Nicolas Barreau c’est le lien avec la littérature : notre héros lit beaucoup et un livre va jouer un grand rôle. 

Une belle histoire, un peu courte, à peine une centaine de pages.

Mon conseil, lisez-le lentement pour faire durer le plaisir !

Deuxième conseil : demandez à votre Valentin ou Valentine de vous l’offrir !

Paru aux éditions Héloïse d’Ormesson.

Notation :

Nicolas Barreau : Trente-trois fois mon amour

Trente-trois fois mon amour
Trente-trois fois mon amour

Résumé

Jeune auteur de comédie romantique, Julien Azoulay perd tragiquement son épouse, âgée de trente-trois ans. Malgré sa douleur, il honore sa dernière volonté : lui écrire trente-trois lettres pour lui raconter cette vie qui se poursuit sans elle. Ce sera leur ultime secret. Mais, alors qu’il les avait cachées dans un compartiment de la pierre tombale, les lettres disparaissent…

L’auteur

Sous le pseudonyme de Nicolas Barreau se cache un auteur franco-allemand qui travaille dans le monde de l’édition.

Mon avis

Décidément j’aime beaucoup les histoires de Nicolas Barreau.

Pas de mièvrerie ici, vous lirez une grande histoire d’amour avec son lot d’émotions. Même si au départ la tristesse submerge notre héros, la vie lui réservera des surprises.

Arthur son petit garçon est là, son ami Alexandre aussi ainsi que sa voisine : autant de personnages qui vont tout faire pour le sortir de sa tristesse. Celle qui va l’aider le plus, aussi étrange que cela paraisse, c’est la disparue Hélène qui lui a demandé de lui envoyer 33 lettres.

Julien a accepté et a promis à son épouse de lui envoyer ses lettres. Plusieurs mois après son départ, il se décide à écrire la première et s’épanche dans sa lettre en racontant son quotidien, décrivant ses difficultés depuis sa disparition.

Petit à petit, écrire lui permet d’atténuer sa tristesse et de regarder de nouveau autour de lui.

Ce roman très émouvant nous entraîne dans une grande aventure humaine : comment continuer à vivre après la perte d’un proche et sourire toujours à la vie.

J’aime aussi le contexte des romans de Nicolas Barreau qui parsème toujours ses récits de références littéraires, ici le héros est écrivain.

Mon conseil : ne pas bouder son plaisir et se précipiter sur ce nouveau roman de Nicolas Barreau publié aux Éditions Héloïse d’Ormesson.

Notation :

Nicolas Barreau : Le café des petits miracles

Le café des petits miracles
Le café des petits miracles

Résumé :

Elle n’est a priori pas le genre de fille qui, de but en blanc, vide son compte en banque et, par une froide matinée de janvier, saute dans un train à destination de Venise ! Mais parfois la vie est imprévisible et une phrase énigmatique retrouvée dans un vieux livre peut avoir des conséquences inattendues…

L’auteur :

Sous le pseudonyme de Nicolas Barreau se cache un auteur franco-allemand qui travaille dans le monde de l’édition. Après le succès phénoménal du Sourire des femmes et de Tu me trouveras au bout du monde, puis La Vie en Rosalie et Un soir à Paris, voici son cinquième roman.

Mon avis :

Un livre anti morosité à découvrir d’urgence !

Pétillant, voilà une belle comédie romantique qui réconforte et cela ne se refuse pas.

Essayez donc, vous serez sous le charme aussi.

Dès la première phrase, j’étais en phase avec l’héroïne : « Nelly aimait la lenteur. Elle était plus encline à flâner qu’à se hâter … ». Timide, rêveuse et adorant les livres, Nelly croit aux signes et se fie à son intuition.

Suite à une grosse déception qui lui tombe dessus sans prévenir, elle s’enfuit à Venise. Elle a retrouvé un roman italien qui a appartenu à sa grand-mère avec une dédicace mystérieuse. Lors d’un froid matin de janvier, elle prend donc le train direction Venise et s’installe dans un appartement vénitien pour un mois.

A vous de découvrir la suite.

Ce que j’ai aimé : l’histoire, l’ambiance, l’humour, les promenades dans Venise, la littérature très présente dans ce récit. Beaucoup d’emotions et d’optimisme en prime.

Ce que je n’ai pas aimé : je cherche encore…

Vous hésitez encore ?

Un beau rayon de soleil en cet hiver rigoureux, à offrir pour la Saint-Valentin.

 

Notation :

Nicolas Barreau : La vie en Rosalie

La vie en Rosalie
La vie en Rosalie

Résumé :

Rosalie, jeune propriétaire d’une jolie papeterie au cœur de Saint-Germain, passe ses journées à peindre les vœux des autres sur des cartes postales en attendant que les siens se réalisent. Jusqu’au jour où Max Marchais, le célèbre auteur jeunesse, débarque dans sa boutique pour lui proposer d’illustrer son nouvel album. Rosalie est comblée ! Mais c’était sans compter sur l’irruption d’un professeur de littérature américain qui assure que ce conte lui appartient.

L’auteur :

Sous le pseudonyme de Nicolas Barreau se cache un auteur franco-allemand qui travaille dans le monde de l’édition. Après le succès phénoménal du “Sourire des femmes”, il publie Die Frau meines Lebens (La Femme de ma vie), 2007,et “Du findest mich am Ende der Welt” (Tu me trouveras au bout du monde, 2008) qui un nouveau best-seller international.

Mon avis :

Un livre “doudou” qui fait du bien à la fois tendre, joyeux et optimiste.

L’auteur nous offre une lecture plaisir qu’il serait bien dommage de bouder.

Rosalie est une jeune femme passionnée, depuis son enfance, par le dessin et la couleur bleue. Son métier : décorer des cartes postales mettant en scène les vœux exprimés par ses clients.

L’histoire est pleine de rebondissements et chaque personnage évolue au contact de Rosalie : sa joie de vivre est contagieuse, elle met du baume au cœur de chacun.

La définition de la vie en Rosalie : assumer ses choix, vivre libre, flâner dans Paris et sourire souvent. Par exemple, quand son ami René, passionné de “vie saine” lui reproche son amour des croissants, elle le regarde et croque à pleine dents dans sa viennoiserie.

Peut on rêver plus belle vie ? Moi je vote pour.

En résumé : un livre que je qualifie de douceur, anti morosité à découvrir pour l’histoire et son ambiance. Comme Rosalie, profitons de la vie, sourions et lisons : voilà une belle prescription à partager !

Merci aux éditions Heloïse d’Ormesson.

Notation :