
Résumé :
1999. Dans un cimetière du Vaucluse, sur la tombe d’une certaine Andrée Imbert, une couronne de fleurs et ces mots : » To Andrée, with love and gratitude. The Kennedy Family. » Quel est donc le lien entre cette femme et l’illustre famille ?
L’auteure :
Valérie Paturaud, installée dans la Drôme depuis plusieurs années, a exercé le métier d’institutrice avant de se consacrer à l’écriture. Le succès qu’elle a rencontré avec son premier roman, Nézida (Liana Levi, 2020), s’est confirmé avec son deuxième roman, La Cuisinière des Kennedy (Les Escales, 2024 ; Pocket, 2025), best-seller qui s’est vendu à plus de 40 000 exemplaires.
Ma chronique
C’est le récit du destin incroyable d’une cuisinière qui va côtoyer les plus grands grâce à sa passion de la cuisine.
Pourtant mal partie dans la vie, pauvre fillette abandonnée à la naissance, Andrée a
un parcours hors norme grâce à sa cuisine extraordinaire. Toute petite, elle suit et participe aux préparatifs culinaires et se passionne de plus en plus pour cet art. Elle cueille les herbes qui l’entourent et développe sans cesse de nouvelles recettes notées dans son carnet. Sa réputation grandit et son art se peaufine au fil des année.
J’ai lu ce roman presque d’une traite : une écriture fine et simple qui nous restitue les paysages et les odeurs de la Provence qu’on retrouve dans la cuisine d’Andrée.
L’auteure a retrouvé toute sa correspondance avec ses enfants dans laquelle elle détaille sa vie chez « les grands ». Au cœur du livre quelques photos d’elle chez les Kennedy ont été insérées ainsi que des recettes.
Voici un joli pied de nez au déterminisme social, sa passion lui a permis de vaincre tous les obstacles.
Un roman à découvrir paru aux éditions Les Escales et chez Pocket.