Étiquette : <span>Tamara McKinley</span>

Chronique de : En souvenir de toi de Tamara McKinley 

Résumé :

1943. La Seconde Guerre mondiale continue à faire des ravages en Angleterre, mais Peggy Reilly s’inquiète surtout pour sa jeune sœur, Doreen. Non sans raison. Cette dernière doit en effet quitter Londres dans des conditions dramatiques pour se réfugier chez elle, à la pension du Bord de mer. Mais l’ombre d’Eddie, son ancien mari, la poursuit …

L’auteure :

Tamara McKinley vit sur la côte sud-est de l’Angleterre, où se déroule l’action de sa série « La pension du Bord de mer ». Ses romans, dont le best-seller La Dernière Valse de Mathilda, ont tous paru aux éditions de l’Archipel.

Ma chronique :

Les livres de Tamara se suivent et se ressemblent pour notre plus grand plaisir.

Déjà le dixième tome de la série de La pension de la mer, j’ai retrouvé ses pensionnaires avec joie comme à chaque tome. La guerre est toujours présente et les bombardements sur Londres et sur la côte sud-est s’intensifient. Comme chacun de ses romans, l’histoire est ancrée dans l’époque troublée de la guerre avec ces femmes qui travaillent comme pompiers ou dans les usines d’armement. Le récit est documenté et vivant, nous souffrons pour les héroïnes malmenées et espérons que l’avenir leur sera plus doux.

Peggy au grand cœur reste mon personnage préféré, sa bonté et son humanité fait du bien et illumine toute cette série. Cordelia, la vieille dame et Ron son beau-père sont toujours des soutiens sans faille. Au rendez-vous de cette lecture : amitié, entraide, solidarité et amours, un programme réjouissant.

À retrouver aux éditions de l’Archipel.

Notation :

Chronique de : Avec mes tendres pensées de Tamara McKinley  

Résumé :

Sud-est de l’Angleterre, 1942. Après avoir découvert des carnets ayant appartenu à son père adoptif, Mary Jones se rend à Cliffehaven, pour y découvrir le secret de ses origines. Afin de subvenir à ses besoins, la jeune femme trouve un emploi à l’usine Kodak, où elle doit trier les courriers envoyés par les soldats à leurs proches, alors qu’elle-même se languit de recevoir des nouvelles de son fiancé, qui se bat sur le continent.

L’auteure :

 Tamara McKinley vit sur la côte sud-est de l’Angleterre, où se déroule l’action de sa saga « La Pension du bord de mer ». Tous ses romans sont disponibles aux éditions de l’Archipel, dont La Dernière Valse de Mathilda, son best-seller traduit dans plus de vingt pays.

Ma chronique :

Un nouveau tome de la série de « La Pension du bord de mer », qui se lit avec plaisir grâce aux personnages toujours aussi attachants.

Ce tome est la suite de « Tant que nous serons séparés », paru en avril 22, et je conseille de le lire avant celui-ci.

Peggy, qui s’occupe de la pension, veille attentivement au bien-être de ses locataires. La période est difficile, fin 1942, avec une intensification des bombardements et l’éloignement du mari et des enfants de Peggy. Noël approchant, chacun cherche du réconfort et espère que l’année 43 sera plus facile. 

Des événements heureux, un mariage et des invités surprises pour Noël, mais aussi une jeune fille, Mary, qui cherche à comprendre ses origines. 

Mary est au cœur de ce récit, sa quête pour retrouver ses parents biologiques nous tient en haleine jusqu’au bout. Bien sûr, elle pourra compter sur Peggy pour l’épauler.

La recette « Tamara McKinley » est toujours là : une reconstitution historique impeccable, des personnages attachants, une écriture fluide et une histoire romanesque.

Si vous aimez ce type de roman, n’hésitez pas.

Paru aux éditions de L’Archipel.

Notation :

Chronique de : Tant que nous serons séparés de Tamara McKinley

Résumé :

Sussex, octobre 1942. Mary Jones, tout juste 18 ans, accompagne à la gare son petit ami de toujours, Jack, qui part sur le front. Sur le chemin du retour, elle apprend que le presbytère de ses parents a été bombardé. Des décombres elle parvient à extraire le coffre de son père, qui contient ses journaux intimes. Chez les parents de Jack, où elle a trouvé refuge, Mary en prend connaissance. Et ce qu’elle lit la bouleverse…

L’auteure :

Née en Tasmanie, Tamara McKinley vit sur la côte sud-est de l’Angleterre, où se déroule l’action de sa saga « La pension du Bord de mer ». Ses romans, dont La Dernière Valse de Mathilda – l’ édition française de ce best-seller s’est vendue à plus de 400 000 exemplaires –, ont tous paru aux éditions de l’Archipel.

Ma chronique :

Nous retrouvons ici tous les héros de la série de « La pension du bord de mer » que Mary, l’héroïne de cet épisode, va découvrir.

Comme les autres tomes, celui-ci peut se lire indépendamment des autres.

Pendant la seconde guerre mondiale, le destin de la jeune Mary bascule après l’incendie du presbytère habité par sa famille. Des révélations vont l’entraîner à faire un grand voyage qui la conduira à rencontrer les fabuleux habitants de la pension du bord de mer. 

Tamara mêle toujours habilement la grande histoire et le destin de ces héros. Nous suivons Mary dans son travail en lien avec l’industrialisation du pays. D’autres jeunes femmes participent également à l’effort de guerre. 

Peggy, qui gère la pension, reste mon personnage préféré pour son courage, sa joie de vivre et son envie d’aider son prochain. Cote personnage masculin, Ron, son beau-père, brave et généreux est sa « béquille » lorsqu’elle craque. N’oublions pas Cordelia, la plus ancienne pensionnaire devenue un membre de la famille. J’ai beaucoup d’empathie pour tous ces personnages devenus familiers tome après tome.

J’ai hâte de lire la suite, la fin nous laissant un peu sur notre faim…

À lire sans modération.

Paru aux éditions L’Archipel

Notation :

Chronique de : Les Échos du souvenir de Tamara Mc Kinley

Les échos du souvenir

Résumé :

1936. À peine arrivée à Paris, la Ville Lumière apparaît à Annabelle Blake, jeune infirmière contrainte de fuir Londres, comme la cité de tous les possibles. Elle y fait la connaissance d’Étienne, poète en devenir, et de Henri, peintre en quête de reconnaissance. Ensemble, ils passent leurs journées à flirter et à prendre du bon temps. Mais ce Paris bohème n’est pas qu’une fête, d’autant que la guerre civile menace en Espagne…

L’auteure :

Née à Launceston (Tasmanie) en 1948, Tamara McKinley quitte l’Australie pour la Grande-Bretagne, où elle intègre un pensionnat de jeunes filles du Sussex. Elle est l’auteure de sagas australiennes – de La Dernière Valse de Mathilda (2005), traduit dans 20 pays

Ma chronique : 

Je suis toujours conquise par les romans de Tamara, j’aime l’ambiance de ses livres et ses intrigues.

Pour une fois, pas de destination lointaine, l’histoire se déroule principalement à Paris avec des incursions en Espagne et à Londres. En fin d’ouvrage, Tamara explique être venue à Paris, invitée par l’éditeur français (L’Archipel) et avoir succombé aussi aux charmes de Paris qui lui ont donnés envie d’écrire cette belle aventure.

Nous allons croiser des peintres dans les années trente, des combattants anti franquistes, des infirmières courageuses puis des résistants.

Français, espagnols ou anglais, tous vont se retrouver au cœur de combats sans merci. Le peintre basque Henri et Annabelle l’infirmière anglaise tissent une idylle dans un monde en guerre.

Tamara met en scène avec talent la guerre d’Espagne, le monde de l’art ou le Paris bohème avec un grand sens du romanesque.

Cette lecture reste dépaysante et délassante, beaucoup d’humanité se dégage de ce récit comme pour les autres publications de cette auteure. C’est aussi pour cette raison que je vous recommande cette lecture.

Paru aux éditions de l’Archipel.

Notation :

Chronique de : L’avenir nous appartient de Tamara McKinley

L’avenir nous appartient

Résumé :

Londres, 1942. Pour fuir les bombardements autant qu’un mari violent, la jeune Ruby Clark est contrainte de quitter la ville. Direction Cliffehaven, sur la côte sud-est de l’Angleterre. Sur place, Ruby tente de se reconstruire et d’oublier l’épisode traumatisant qu’elle a vécu. Par chance, elle trouve vite un emploi d’ouvrière dans une usine d’armement et une chambre chez l’habitant. Mais le couple qui l’héberge n’a rien d’hospitalier, et Ruby craint de vivre un nouveau calvaire.

L’auteure :

Née à Launceston (Tasmanie) en 1948, Tamara McKinley émigre en Grande-Bretagne, où elle intègre un pensionnat de jeunes filles du Sussex. Ses romans, de La Dernière Valse de Mathilda (2005), traduit dans plus de 20 pays, ont tous paru aux éditions de l’Archipel avant d’être publiés en Archipoche. Tamara McKinley vit sur la côte Sud de l’Angleterre.

Ma critique :

Tamara est une de les auteures fétiches, ouvrir un de ces livres est toujours la promesse d’une belle lecture. Cette fois encore je n’ai pas été déçue.

J’aime son style très fluide, ses personnages extrêmement attachants et remplis d’humanité. Souvent, comme ici, il s’agit d’un combat entre des « méchants » et des «bons » qui se défendent comme ils le peuvent. 

Celle qui remporte tous les suffrages en terme de gentillesse est Peggy, remplie naturellement d’une grande bonté, toujours généreuse même en ces temps de guerre. 

Ruby, personnage central ici, pourra compter sur elle heureusement.

Le thème des violences conjugales est abordé ici au travers des aventures malheureuses de Ruby qui doit se défendre d’un mari qui a pris le pouvoir sur sa femme et la terrorise. Le climat de ces années sombres en filigrane de l’histoire donne une intensité plus dramatique.

J’aime beaucoup le personnage de Mme Finch, Cordelia, la plus ancienne pensionnaire du « Bord de mer » toujours prête à aider son prochain.

En résumé, une lecture douce, qui requinque malgré les thèmes abordés : de nouveau une réussite.

À mettre dans toutes les mains.

Publié aux éditions l’Archipel.

Notation :