Sarah Lark : Le cri de la terre

Sarah Lark : Le cri de la terre

Résumé :

Le cri de la terre
Le cri de la terre

Gloria, l’arrière-petite-fille de Gwyneira McKenzie (la jeune Anglaise qui débarquait sur les côtes de la Nouvelle-Zélande dans Le Pays du Nuage blanc), a joui d’une enfance et d’une adolescence idylliques à Kiward Station, la ferme familiale. Mais tout s’effondre quand ses parents – pourtant absents car pris par la carrière de cantatrice de sa mère – lui font savoir qu’il est temps pour elle de devenir une véritable lady. Gloria doit alors tout quitter et faire ses adieux à ceux qui l’entourent, en particulier son cousin Jack, dont elle est très proche. Destination l’Angleterre et un austère pensionnat !

L’auteur :

Née en 1958 dans la Ruhr, Sarah Lark est tour à tour guide touristique, et journaliste avant de se tourner vers l’écriture de romans. Elle vit près d’Alméria, en Andalousie, où elle a créé un refuge pour chevaux. Sa trilogie néozélandaise, traduite dans 22 pays, a séduit plus de 3 millions de lecteurs dans le monde, et a été, notamment en Allemagne et en Espagne, un immense succès de libraire.

Mon avis :

Une grande aventure qui nous emmène sur plusieurs continents en compagnie de Gloria, Jack, Lilian et beaucoup d’autres personnages, une belle saga qui dépayse et nous accroche.

Nous suivons plus particulièrement Gloria, jeune fille amoureuse des chevaux qui est envoyée dans un pensionnat en Angleterre. Ces parents, peu présents, ont décidé que la jeune fille y aurait une meilleure éducation qu’en Nouvelle Zélande. Seule consolation, elle part avec Lilian dont elle très proche.

Nous sommes à la veille de la première guerre mondiale, le voyage pour atteindre l’Angleterre est déjà une aventure.

Mais nous n’en sommes qu’au début … de leurs aventures !

Des histoires qui se croisent avec pour décor différents continents, l’Europe et l’Australie notamment, et finalement peu de moments en Nouvelle Zélande.

Ce n’est surtout pas mièvre, je dirai même plutôt réaliste, Gloria n’a pas une vie facile : sa liberté, elle va la payer chère. Nous la suivons dans ses aventures où elle doit survivre dans des conditions très difficiles.

La première guerre mondiale, avec la bataille des Dardanelles, est très présente : les jeunes hommes, dont nos héros, vont aussi vivre des heures sombres.

En résumé : des heures de lecture intéressantes et passionnantes.

Une saga qui rappelle les grands romans de Tamara Mc Kinley que je vous recommande aussi comme “l’île aux mille couleurs“.

Merci à LP Conseils et aux Editions l’Archipel.

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