Résumé :
Alice, quarante-quatre ans, s’ennuie. Maintenant qu’elle est divorcée et que sa fille a quitté la maison pour faire du volontariat en Afrique, elle rêve de changer de vie. À la veille du Nouvel An, elle part retrouver son amie Maggie à Manhattan. Cette dernière prend les choses en main au cours d’une séance de transformation : coupe de cheveux, maquillage, tenue… Métamorphosée en jeune femme, Alice a du succès et rencontre Josh, un bel étudiant qui pourrait être son fils. Se prenant au jeu, elle décroche un job d’assistante marketing dans la maison d’édition où elle avait commencé à travailler vingt ans plus tôt. Tout le monde lui donne vingt-neuf ans, y compris Josh, de plus en plus amoureux.
L’auteur : Pamela Redmond Satran est l’auteur de plusieurs romans à succès et collabore régulièrement à Glamour, Redbook et Parenting. Elle vit à New York avec son mari et leurs trois enfants.
Mon avis :
J’ai passé un bon moment avec ce livre que je pensais léger et sans prétention comme un livre “plage” mais qui finalement a fait écho à certaines situations vécues. En plus, c’est bien raconté et se lit vite.
Un point de départ plutôt étonnant : une quadragénaire dont la vie s’étiole change de style et rajeunit. Ce qui est intéressant c’est que son nouveau look va bouleverser son mental et sa vision de la vie. Elle va s’affirmer et prendre sa vie en main.
C’est ce côté de l’histoire qui m’a intéressée car certaines situations peuvent paraître plus ou moins crédibles mais son nouveau tempérament va faire la différence et c’est c’est cela le plus important.
Alice va être aidée par Maggie sa meilleure amie, une artiste anti conformiste qui va changer aussi. Son entourage ne sortira pas indemne de sa transformation. Pour le meilleur ou pour le pire ? A vous de le découvrir.
Une lecture parfaite pour l’été : pour les quadragénaires, les trentenaires et pourquoi pas pour les jeunes filles aussi. Toutes les générations vont s’y retrouver. Un vent d’optimisme souffle au travers de ce récit : profitez-en.
Si je devais changer quelque chose, ce serait la couverture : trop “girly” et qui ne reflète pas le cœur de l’histoire plus subtile qu’il n’y paraît.
Merci aux Editions Denoël.
Editions Denoël
Collection Histoire romanesque
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Arnaud Baignot et Perrine Chambon