Chronique de : Quand je me deux de Valérie Rouzeau

Chronique de : Quand je me deux de Valérie Rouzeau

Résumé :

« Combien de fois ne m’a-t-on pas demandé d’éclairer le sens de ce “deux” ! du verbe “se douloir”, fréquemment usité au Moyen-Âge et signifiant souffrir, plus au plan moral que physique. Apollinaire l’a fait revivre dans son Guetteur mélancolique, en optant pour cette belle graphie qui donne 2 aussi ».

L’auteure :

Née le 22 août 1967 à Cosne-Sur-Loire, Valérie Rouzeau s’est fait connaître avec Pas Revoir (Le Dé Bleu, 1999, réédité en Petite Vermillon en 2010 suivi de Neige Rien). Auteur de quelque vingt-cinq recueils de poésie et de plusieurs chansons pour le groupe Indochine, elle a aussi traduit Sylvia Plath et William Carlos Williams.

Ma chronique :

De la poésie mordante, décalée qui croque notre vie de tous les jours et c’est un vrai bonheur.

Je l’ai découverte avec « Éphéméride » et de nouveau je suis tombée sous le charme de ces vers.

Vif et coloré, ce recueil de poèmes est une illustration de nos souffrances morales et physiques avec une pointe d’optimisme et d’humour.

Un extrait du poème « Trente-six chandelles » ‘

« De quoi donc les rêves sont-ils faits

    Quelqu’un m’a-t-il toujours aimée

    Ai-je aimé bien quelqu’un 

    Une fois deux fois trois fois moins quatre rien. »

À lire et relire.

Publié aux éditions de la Table Ronde collection La petite Vermillon 

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Notation :

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