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Rentrée littéraire automne 2017 : Mes premiers titres

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans ma pile, voici mes trésors 😍 treize titres prometteurs … et le rappel de mes coups de cœur à glisser dans la valise pour les vacances.

 

Éditions de la Table Ronde :

 

Éditions Le Serpent à plumes :

 

Éditions de la Martinière :

 

Éditions l’Iconoclaste :

 

Éditions Finitude :

 

Éditions Philippe Rey :

 

Éditions Héloïse d’Ormesson :

 

Éditions Gallimard :

 

Éditions Rivages :

  • Sucre noir de Miguel Bonnefoy parution le 16/8/17.

 

Éditions Stock :

  • Mon autopsie de Jean-Louis Fournier parution le 30/8/2017.

 

Rendez-vous fin août pour mes avis sur ces romans.

 

En attendant, pour les lectures d’été, n’oubliez pas mes coups de cœur pour la valise de l’été :

  • les couleurs de la vie de Lorraine Fouchet
  • Mrs Hemingway de Naomi Wood
  • La vie étoilée d’Ethan Forsythe
  • Miniaturiste de Jessie Burton
  • Femme de tête de Hanne-Vebeke Holst

 

 

Rétrospective printemps 2017 : mes coups de cœur ❤️

Avant que l'été ne s'installe et que la rentrée littéraire nous inonde de nouveaux titres, voici mes coups de cœur du printemps.

À glisser dans la valise pour les vacances.


Lorraine Fouchet : Les couleurs de la vie


Antonia Hayes : La vie étoilée d'Ethan Forsythe


Jessie Burton : Miniaturiste


Naomi Wood : Mrs Hemingway


Hanne-Vibeke Holst : Femme de tête


BONNES VACANCES…

Hanne-Vibeke Holst : Femme de tête

Femme de tête
Femme de tête

Résumé :

À la tête du Parti social-démocrate, Elisabeth Meyer s’apprête à mener campagne quand elle apprend qu’elle est atteinte d’Alzheimer. Au péril de sa vie, cette femme de conviction engage une course contre la montre pour mener son parti à la victoire et sauver la démocratie danoise menacée par la montée des extrémismes… Mais la fin justifie-t-elle les moyens ?

 

L’auteur :

Née à Hjørring en 1959, Hanne-Vibeke Holst a longtemps été journaliste politique avant de se consacrer à l’écriture. Membre de la commission danoise de l’Unesco, elle s’est également illustrée par son engagement pour la cause des femmes. Véritables best-sellers en Scandinavie, ses romans ont été couronnés par de nombreux prix, notamment le Søren Gyldendal et le prix des libraires danois. Passionnante exploration des arcanes du pouvoir, Femme de tête (2017) s’inscrit dans la continuité de L’Héritière (2014) et du Prétendant(2015).

 

Mon avis :

Un suspense politique addictif aussi prenant que les deux premiers opus.

J’ai adoré ! Rappelez-vous dans “Le prétendant” , nous avions fait connaissance avec les principaux personnages de ce récit. J’avais hâte de découvrir la suite et je n’ai pas été déçue. Le projecteur est braqué, cette fois, sur les femmes et plus spécialement Elisabeth Meyer.

Elle veut gagner les élections et fera tout pour y parvenir malgré la maladie qui la guette et les chacals autour d’elle. Un univers impitoyable, dans lequel elle navigue avec aisance, suivant toujours son but : ne rien laisser aux adversaires. Une femme forte, aidée par son héritière, son mari et ses assistants. En face d’elle, un homme qui veut aussi le pouvoir, à l’affût des failles d’Elisabeth.

Va-t-elle résister à la pression de la maladie pendant sa conquête du pouvoir ?

Autour d’elle, Charlotte, l’héritière, se débat entre son envie de continuer la bataille et la volonté de se retrouver plus souvent en famille et changer de voie.

D’autres périls les attendent comme la montée de l’extrémisme et des attentats. Les situations nous rappelant aussi notre quotidien.

Un thriller hautement addictif mêlant habilement l’intime et le public dans cette lutte pour le pouvoir.

Ce troisième et dernier volet de cette trilogie sur le monde politique danois s’achève en apothéose. Un livre qu’on n’oublie pas.

À découvrir sans tarder.

Le site de l’auteure

 

Merci aux Éditions Heloïse D’Ormesson.

Notation :

Lorraine Fouchet : Les couleurs de la vie

Les couleurs de la vie
Les couleurs de la vie

Résumé :

Fraîchement débarqué de son île bretonne à Antibes pour devenir la dame de compagnie de Gilonne, Kim est frappé par la complicité qui unissait ancienne actrice à son fils unique. Aussi qu’elle n’est pas sa surprise lorsqu’elle apprend que celui-ci aurait disparu des années plus tôt …

 

L’auteur :

Née en 1956, Lorraine Fouchet a été urgentiste au SAMU et à SOS Médecins avant de se consacrer à l’écriture. Auteur de seize romans, elle vit entre Paris et l’île de Groix. Son roman précédent “Entre ciel et Lou” a été couronné de plusieurs prix.

 

Mon avis :

Quelle joie de retrouver l’ambiance des romans de Lorraine : je l’ai découverte avec son précédent livre que j’avais adoré. Coup de cœur ❤️ pour celui-ci aussi.

Les mêmes ingrédients magiques sont là : tendresse, optimisme et humour.


Lorraine nous a concocté une superbe leçon de vie dans un livre qui se dévore, lorsque la dernière page est tournée, on est tellement triste de quitter nos héros.


Kim, l’héroïne, quitte son île de Groix pour le sud de la France oublier un événement malheureux et se met au service d’une vieille dame. C’est une ancienne actrice, adulée autrefois, qui adore les roux. Kim, rousse aussi, a su conquérir la vieille dame. Son fils, très proche de sa mère, cache un secret que la jeune fille va chercher à percer. Tous sont des êtres cabossés par la vie qui décident de relever la tête.


J’ai aimé le carnet indigo de Kim : chaque jour elle note les “pour” et les “contre” de sa journée.
En fin de livre, Lorraine liste aussi ses “pour” et ses “contre”.

Kim, Clovis, Gillone, Côme : une belle galerie de personnages qui nous entraîne dans une histoire pleine de légèreté, de tendresse, d’amour et de suspense.

Si c’était un bonbon ce serait une bergamote. Vous craquerez aussi, comme moi, pour la mise en page du livre avec ces dessins en tête de chapitre (poissons 🐠palmiers 🌴). Découvrez cette pépite qui met du baume au cœur.

 

Rien ne vaut la vie… une belle devise …

Une douce histoire à ne pas rater.dédicace

 

Notation :

Karin Kalisa : La mélodie familière de la boutique de Sung

La mélodie familière de la boutique de Sung
La mélodie familière de la boutique de Sung

Résumé : Lorsque la grand-mère de Minh donne un spectacle de marionnette vietnamienne à la fête de l’école, personne ne soupçonne que le quartier de Prenzlauer Berg va en être bouleversé. Et pourtant, dans ces rues de l’ancien Berlin-Est, la part d’Asie ressurgit, insufflant un nouveau sens de la communauté. C’est l’effet papillon assuré. Bientôt, les habitants sont coiffés de chapeaux de paille pointus, des légumes méconnus apparaissent dans les assiettes, des ponts de bambou relient les maisons de toit en toit.

 

L’auteur :

Née en 1965, Karin Kalisa a vécu à Hambourg, Tokyo et Vienne avant de s’installer à Berlin. Elle est linguiste, philosophe et spécialiste de la culture classique. La Mélodie familière de la boutique de Sung est son premier roman.

 

Mon avis :

Une histoire douce et tendre : un grand vent d’optimisme souffle dans cette fresque et comme c’est agréable !

Dans un quartier de Berlin, un petit garçon, Minh le fils de Sung, doit apporter à son école un objet qui représente ses origines : le Vietnam. Tous deux sont nés ici en Allemagne bien qu’ils soient très bruns avec des yeux en amande. La grand-mère de Minh lui propose de l’accompagner à l’école avec une marionnette en bois qui vient raconter une histoire de son pays aux enfants. Un récit qui émeut petits et grands.

Hien, La grand-mère accompagnait son grand-père marionnettiste lorsqu’elle était petite, quand la guerre lui permettait. La marionnette et Hien arriveront ensuite à Berlin dans les années 80.

Ce que je peux vous dire c’est que les habitants de ce quartier vont se transformer, rêver d’Asie, porter des chapeaux de paille et manger des fruits exotiques.

La couverture illustre bien le thème principal de ce beau roman : le choc des cultures, le partage et le lien entre les peuples.

En le refermant on a envie de :

  • Parler à ses voisins
  • Partir au Vietnam
  • Découvrir ce quartier de Berlin
  • Partager ses recettes préférées, manger au soleil …

Bref vivre comme on a envie et se faire plaisir.

Une lecture douceur que j’ai dégustée avec délectation et en prenant mon temps pour que cela dure plus longtemps.

Une bulle de poésie et de légèreté qui comblera tous les lecteurs qui ont gardé leur âme d’enfant.

Évadez vous grâce à Karin Kalisa.

 

Merci aux éditions Héloïse d’Ormesson.

Notation :